Les alternatives au géant américain "Google"
27 juin 2017
"Attends, je vais aller voir sur Google!" De nos jours, beaucoup d’entre nous ne peuvent plus imaginer leur quotidien sans ce moteur de recherche. À l’échelle mondiale, Google détient une part de marché supérieur d’environ 90%. Mais est-il vraiment irremplaçable ?
Prenons par exemple le site allemand "Ecosia". Ce chercheur Web caritatif reverse 80 % de ses revenus publicitaires à la plantation d’arbres au Burkina Faso. Pour chaque clic ou chaque achat sur un site partenaire, l’entreprise sociale obtient un revenu, qui est partagé en transparence sur le site. De cette manière, l'entreprise lutte contre la sécheresse au Sahel. Plus de 9 millions d'arbres ont été plantés depuis sa création.
Un "Google noir"
Toujours visant l’aspect écologique, "Blackle", représente une bonne option pour la recherche en ligne. Le "Google noir" utilise des énergies durables et économise de l'énergie grâce à la couleur prédominante de l'écran – le noir.
Le moteur de recherche français "Qwant" poursuit une autre approche en promettant de respecter la vie privée de ses utilisateurs : il ne les trace pas. Selon "Qwant", le seul cookie présent existe seulement durant la session mais il est supprimé immédiatement après. Il ne peut donc pas établir des corrélations entre les adresses d'identification - IP - et les requêtes de recherche.
Les moteurs de recherche alternatifs comme "Yahoo!", "Duckduckgo", "Bing" et les trois ci-dessus mentionnés n’utilisent pas forcément les mêmes algorithmes que "Google". C’est pour cela que les résultats peuvent varier. Néanmoins, la plus part des moteurs de recherche s’adaptent au comportement des utilisateurs. Ce qui permet une amélioration des résultats.