Le gouvernement transitoire et les tribunaux islamiques ont conclu lundi à Khartoum un accord provisoire axé sur la formation d’une armée nationale et d’une force de police. Par contre la question du partage du pouvoir fera l’objet de nouveaux pourparlers à la fin du mois d’octobre. L’analyse de Youssouf Karieh, président de l’Association de soutien aux enfants adoptés de l’Afrique et spécialiste de la Somalie, joint par Mahamadou Koné