Les dissensions au sein du Conseil de sécurité de l'ONU sur la juridiction habilitée à juger les crimes commis au Darfour, dans l'ouest du Soudan, risquent de paralyser les efforts visant à juger les responsables. C'est notamment l'avis du professeur Mwayila Tschiyembe, directeur de l'Institut Panafricain de géopolitique, basé à Nancy en France. Il répond à Emmanuel Rushingabigwi.