Partir pour mieux rentrer : les "retournés"

Ce ne sont ni des retours forcés, ni des retours encadrés par les institutions. Ce ne sont ni des étrangers en situation irrégulière, ni des étrangers qui rentrent en échange d'une somme d'argent offerte par l'Union européenne ou l'Allemagne. Ce sont des gens qui sont venus faire leurs études à Cologne, Bochum ou Berlin. Qui ont travaillé ici. Puis, qui ont décidé de rentrer chez eux, pour des raisons personnelles ou professionnelles.

Saliou Konté, Séna Yao Akakpo Numado, Henri Théodore Bayouak ou encore  Eric Condé sont tous des "retournés". Nous vous proposons d'aller à leur rencontre au Sénégal, au Togo, au Cameroun ou en Guinée.

En studio, nous sommes en compagnie d'Anne-Mireille Sambou, étudiante en linguistique et boursière du DAAD, l'Office allemand d'échanges universitaires. Cette jeune Sénégalaise prévoit de rentrer cette année dans son pays.

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