L'économie d'un pays peut-elle redécoller après des années de sanctions internationales ? | PROGRAMME | DW | 02.12.2013
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L'économie d'un pays peut-elle redécoller après des années de sanctions internationales ?

L'annonce d'une levée partielle des sanctions économiques contre l'Iran aiguise l'appétit des entrepreneurs allemands. Dans cette édition également, le paiement par voie bancaire des enseignants de RDC.

Des partisans du président iranien Hassan Rohani après l'annonce d'une levée partielle des sanctions économiques internationales contre l'Iran

Des partisans du président iranien Hassan Rohani après l'annonce d'une levée partielle des sanctions économiques internationales contre l'Iran

Les sanctions économiques internationales sont fréquemment utilisées par des instances internationales comme les Nations unies pour exercer une certaine pression sur des États. Les sanctions visent notamment à interdire le commerce de biens et de services ciblés. Parmi les pays les plus touchés par ce type de contraintes, on trouve l'Iran, soupçonné de vouloir se doter de l'arme nucléaire. Mais depuis l'accord scellé le 22 novembre dernier entre l'Iran et les grandes puissances pour contenir le programme nucléaire iranien, les regards des entrepreneurs et des investisseurs semblent se tourner à nouveau vers le pays. Dernier exemple en date de ce nouvel engouement, le salon de l'automobile qui s'est ouvert la semaine dernière à Téhéran a attiré de nombreux constructeurs étrangers, avides de préparer le terrain en vue d'une possible réouverture du marché iranien. Alors qu'est-ce qui attire tant les entrepreneurs en Iran après tant d'années de sanctions ? Le journaliste Rolf Wenkel est allé à la rencontre de deux spécialistes allemands du commerce, eux aussi très intéressés par l'Iran.

Il y a un peu plus d'un an, le gouvernement de la République démocratique du Congo décidait de verser par voie bancaire les salaires aux enseignants du pays. Jusque là, les fonctionnaires et les agents du service public de la RDC étaient rémunérés par voie hiérarchique et par le Ministère des Finances qui prélevaient sans contrôle des frais sur les salaires. Alors la décision de Kinshasa a-t-elle été efficace contre les détournements de fonds et les nombreux salaires fictifs qui caractérisaient la gestion du paiement des fonctionnaires congolais ? C'est l'une des questions posées par Abilinda Ebinda Ngboko à Édouard Litambala Mbuli, prêtre congolais et cadre du secteur de l'enseignement à Bumba dans la Province de l'Équateur.

L'économie d'un pays peut-elle redécoller après des années de sanctions internationales ?