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"Les déclarations faites, situent les responsabilités des uns et des autres" (Bénéwendé Sankara)

Etienne Gatanazi
8 novembre 2018

Le procès du coup d'état manqué de 2015 au Burkina a repris lundi. Auditionné, un commandant de l’ex-Régiment de sécurité présidentielle, le RSP, nie les faits et accuse le général Diendéré. Le 1er vice-président de l’Assemblée nationale, Bénéwéndé Sankara réagit. Pour Bénéwéndé Sankara, les déclarations faites par les accusés, situent les responsabilités des uns et des autres dans ce coup.

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L’ancien chef de corps Aziz Korogo a nié avoir participé au putsch et a affirmé qu'il avait ordonné aux soldats de ne pas se mêler aux problèmes politiques. En revanche, il accuse le général Gilbert Diendéré, l’ex-bras droit du président déchu Blaise Compaoré, d’être le meneur du putsh.

Le RSP était l'ancienne garde prétorienne du président Blaise Compaoré, chassé en octobre 2014 par la rue après 27 ans au pouvoir. L’actuel 1er vice-président de l’Assemblée nationale a été l’un des meneurs de ce soulèvement.

Ecoutez Bénéwéndé Sankara en cliquant sur l'image.