Dadis Camara, l'ancien chef de l'Etat guinéen en exil à Ouagadougou, a passé 48 heures dans son pays. Sa présence aurait pu faire avancer le dossier de la justice sur le massacre du 28 septembre 2009.
C'était l'espoir des défenseurs des droits de l'homme. Il n'en a rien été. En seconde partie vous pourrez suivre le compte rendu d'une conférence-débat sur la démocratie en Europe.