Paludisme anémique : chaque minute compte | PROGRAMME | DW | 09.09.2019
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PROGRAMME

Paludisme anémique : chaque minute compte

Parmi les symptômes développés par les jeunes enfants touchés par le paludisme, l'un des plus graves est l'anémie. Illustration, cette semaine, avec un reportage dans un centre hospitalier au Togo // Au Nigeria, l'infertilité reste un tabou mais de plus en plus de couples ont recours à la fécondation artificielle. Du moins, lorsqu'ils en ont les moyens.

Plus de 90% des 400.000 décès dus au paludisme chaque année surviennent en Afrique subsaharienne, selon l'Organisation mondiale de la Santé. C’est l’une des premières causes de mortalité infantile sur le continent !

Mal traitée cette maladie parasitaire peut entrainer d’autres complications. L’une de ses formes graves est le paludisme anémique. Au Togo précisément au centre hospitalier universitaire Sylvanus Olympio, le centre de référence de Lomé  c’est la forme qui tue le plus les enfants de moins de 5 ans . Et pour cause : il n’y a tout simplement pas assez de sang disponible pour soigner les cas les plus critiques. Un reportage de notre correspondante à Lomé, Elodie Amen. 

Fécondation in vitro au Nigeria

Au Nigeria comme ailleurs, il n'est pas simple d'être en couple sans avoir d'enfant. Face aux critiques et parfois même aux moqueries, certains optent pour la fécondation artificielle. Mais cette opération en plus d'être risquée est aussi onéreuse. Alors, pour échapper à la pression familiale et sociale, les époux, qui n'ont pas les moyens, envisagent parfois de prendre une seconde épouse.