20 ans après la fin de l’apartheid en Afrique du sud, la vie à Johannesburg, la capitale économique du pays, a bien changé mais la fracture sociale demeure.
En effet dans la métropole sud africaine les habitants ne se rendent pas dans tous les quartiers de la ville. Chaque communauté, noire, blanche, riche ou pauvre se cantonne dans son coin. Un projet de l’institut Goethe de Johannesburg a tenté de les rapprocher par le biais de l'art.