Un petit outil technologique, un bénéficie vital: la commission européenne promeut "l'appel de secours électronique" en anglais e-call...Et puis une ONG essaye de trouver des solutions aux plus près des traditions Roms
E-call, l'appel électronique de secours, est déjà testé en Roumanie ou en République tchèque par exemple. Certes avec une mortalité routiére en moyenne de 10 personnes pour 100 000 habitants, l'Europe est le meilleur élève à l'échelle mondiale en matière de sécurité routière.
La catastrophe peut arriver à tout instant: e-call doit permettre à partir d'octobre 2015 de sauver des vies
En Allemagne, en 2012 le nombre de décès par accident de la route était de 3600, d'après l'office des statistiques de Wiesbaden, le chiffre le plus bas depuis 1952. Mais c'est encore trop. Et une piste pour réduire ce chiffre est d'augmenter la rapidité des secours avec l'appel électronique e-call. Alors gadget ou avancée? Gilles Carabin, responsable du dossier e-call à la commission européenne nous donne des explications.
Intégration peu couteuse
Des projets au plus près des besoins et des traditions des Roms leur donnent une meilleur chance de s'intégrer
Créer des coopératives d'artisans Rom, connus pour leur compétence dans les métiers manuels, voilà la réponse pragmatique donnée au problème de l'intégration de cette population en Roumanie. Une solution simple et peu couteuse apportée par une association rom pour un casse-tête sur lequel les fonctionnaires européens s'arrachent toujours les cheveux. L'Union européenne a d'ailleurs désigné ce projet parmi les dix meilleurs projets d'entrepreneuriat social dans le cadre du concours européen de l'innovation sociale 2013. Mihaela Carbunaru, notre correspondante en Roumanie, a rencontré ces Roms artisans...