Jeanne et ses enfants creusent et cassent des pierres sous le soleil durant la journée. Un travail difficile qui leur procure moins de 3 euros par jour. Insuffisant pour subvenir à leur besoins mais ils n’ont pas le choix. Aucun des enfants de Jeanne n'est scolarisé. Leur histoire est semblable à celle de milliers d’autres enfants et familles qui travaillent dans les mines à Kipushi.