Rapides, pratiques et moins chers, les moto-taxis sont souvent cités pour expliquer le taux de pollution très élevé à Cotonou. Ces véhicules soulèvent autant de poussière que de problèmes environnementaux au Bénin.
D’après des études menées par l’Université d’Abomey Calavi, le niveau de benzène dans l’air à Cotonou était déjà, en 2007, 20 fois supérieur à la normale, soit largement au-dessus de la norme recommandée par l’Organisation mondiale de la santé, l’OMS. Un problème aggravé par le nombre croissant de zémidjans : dans la seule capitale, on en compte entre 50 et 100 000.